Le parcours inspirant de Martin, bachelier pionnier du Lycée La Jonchère
Aujourd’hui étudiant en prépa intégrée à Epita, prestigieuse école d’ingénieur informatique, Martin est l’illustration même d’un parcours réussi au sein du Lycée La Jonchère(LLJ). Son accomplissement s’est exprimé à tous les niveaux, à la fois scolaire et humain.
Un enfant sociable, joyeux et communiquant facilement avec les adultes : Martin avait en lui des qualités intrinsèques très positives mais qui ont fini par le desservir au sein d’une scolarité classique. « Il avait de bons résultats scolaires mais ne rentrait pas dans le moule. Il était considéré par certains professeurs comme sympathique mais trop à l’aise et trop divertissant pour ses camarades, ce qui était antinomique avec le principe d’obéissance et de discipline que l’on exige à l’école », raconte sa mère Stéphanie. Il fallait donc à Martin un cadre scolaire plus propice à son épanouissement et qui ôte tout risque “qu’il ne s’éteigne ou se révolte”, comme le craignait Stéphanie. C’est pourquoi, à la rentrée de 4e, Martin – et sa joyeuseté contagieuse – a intégré LLJ !
Accueillir les élèves avec leur différentes personnalités, sensibilités et difficultés sans les juger est un principe imparable de LLJ. « Dès que je suis entré, j’ai senti qu’on me laisserait être qui j’étais et cela a été un grand soulagement pour moi », raconte Martin. Il est alors l’un des plus âgés du collège qui vient de naître. Sa sociabilité s’épanouit aussi bien auprès des enseignants – qui ont une relation de confiance et de bienveillance avec chaque élève – qu’avec les camarades de son groupe et d’autres plus jeunes. « J’ai beaucoup aimé mentorer et parfois soutenir certains qui avaient des difficultés avec des matières », précise Martin. L’école encourage la coopération, Martin est toujours prêt à aider et soutenir ceux qui en ont besoin.
Conscient des valeurs de bienveillance mais aussi des exigences fortes de l’établissement vis-à-vis des apprentissages, Martin donne le meilleur de lui-même. Déjà très bon en maths et sciences, il a une excellente base en anglais car il a passé deux ans à la British School. En première, il passe à la vitesse supérieure en travaillant beaucoup en autonomie. « Sa liberté d’être au sein de l’école lui a permis de renforcer sa confiance en lui qui a elle-même boosté ses motivations, c’est pourquoi il a su travailler en autonomie au lycée », explique Stéphanie.
Première promo de bacheliers de LLJ
Martin s’est investi avec sérieux, non seulement pour son propre avenir, mais aussi pour la réussite de l’établissement. Il était conscient que ses résultats étaient importants pour prouver que son établissement scolaire privé hors contrat menait à la réussite au bac. « J’avais à cœur de montrer que ce que nous faisons à La Jonchère portait ses fruits », explique-t-il.
Pour le bac, il obtient 20 sur 20 en histoire-géographie, sur un sujet a priori difficile, alors que ce n’était pas forcément une de ses matières de prédilection et il excelle en NSI et en maths. Ses très bons résultats lui ont permis d’être Grand classé lorsqu’il a postulé pour des écoles d’ingénieurs via Parcoursup, ce qui signifie qu’il était admissible sans avoir à passer les épreuves écrites du concours. Il a depuis intégré Epita et a choisi un parcours personnalisé anglophone. «Tous mes cours sont en anglais et ça ne me pose vraiment aucun problème ».
Martin s’épanouit dans un contexte où la pédagogie par projets lui permet de travailler en groupe avant de choisir, pour la suite, une spécialisation en cybersécurité, intelligence artificielle, réalité virtuelle, robotique… LLJ lui a apporté cette culture de la coopération avec ses pairs et cela coïncide parfaitement avec la pédagogie de son école : « Nous devons relever le défi de réaliser un jeu vidéo en 3D en groupe de 5 étudiants et je m’y sens totalement à l’aise », raconte-t-il.
Un moteur et un modèle dans l’école
Aujourd’hui, malgré son emploi du temps d’étudiant bien rempli, Martin continue de passer régulièrement au Lycée La Jonchère. Il participe même assidûment aux matchs de football entre enseignants et élèves du mercredi après-midi ! Beaucoup d’élèves le considèrent comme un modèle. Anne-Laure, professeure de mathématiques, l’atteste en des termes élogieux : « Martin a toujours été un moteur dans sa classe mais également auprès d’élèves d’autres groupes, comme un grand frère – qu’il est déjà à la maison, ça aide ! –. Il était toujours partant pour les projets, expérimentations, innovations proposés par l’école. Sociable et à l’aise avec tout le monde, il a laissé une vraie empreinte ici, comme un modèle. Ce qu’il peut dire ou faire est aujourd’hui encore impactant. »
