Histoire de La Jonchère - Collège et Lycée alternatif bienveillant
Entre passion et éducation

L'histoire du Lycée La Jonchère

Le Lycée la Jonchère (initialement Harmony School) propose de replacer le plaisir d’apprendre au cœur du parcours des étudiants. Il a été fondé en 2019 par Arnaud Doillon, dont la volonté était de proposer une alternative aux systèmes éducatifs traditionnels, qu’il percevait, par expérience pour ses 5 enfants, comme trop centrés sur la sanction. Le projet pédagogique présente la particularité d’avoir été co-construit par des enseignants et des professionels issus du monde l’entreprise, tous adeptes des méthodes de communication bienveillante et du modèle de gestion de l'entreprise libérée.

Toujours en quête d’adaptation et de flexibilité, le lycée est ouvert en 2021 puis la filière technologique STMG, à la rentrée 2023. 

Les résultats parlent d’eux-mêmes, avec 100% de réussite au baccalauréat général, pour la première promo de bacheliers en 2024,  renforçant ainsi la conviction que l’épanouissement et la réussite scolaire vont de pair.

Aujourd’hui, le Lycée La Jonchère accueille 54 élèves de la 6ème à la Terminale, accompagnés par une équipe enseignante bienveillante et soucieuse d’encourager chacun à développer ses compétences.

Au Lycée La Jonchère, nous mettons tout en oeuvre pour faciliter la réussite et l’épanouissement des élèves. C’est pourquoi nous avons conçu un environnement accessible à tous, en proposant des solutions adaptées comme la possibilité de suivre ponctuellement les cours à distance en cas de besoin, ainsi qu’un système de bourses pour accompagner les familles. Enfin, nous accordons une attention particulière à nos locaux : modernes, agréables et flexibles, ils sont pensés pour s’adapter aux différents besoins des élèves et aux diverses approches pédagogiques. Ainsi,  l’école n’est plus une obligation ou un frein, c’est un choix et une chance : celle de rejoindre un Lycée qui laisse la part belle à ce qui nous rend heureux!

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Le constat

Il convient de trouver le juste équilibre entre l'éducation punitive et l'attitude laxiste

L'idée qu'éduquer puisse s'exercer sans punition est peu partagée. L'absence de punition est pour beaucoup synomyme de laxisme et de perte d'autorité des parents ou des enseignants. Or, si la punition peut avoir des objectifs nobles - bien élever, faire progresser, faire comprendre - elle peut être au mieux inefficace, au pire traumatisante.

De l’antiquité jusqu’au début du XXème siècle, la punition a connu de beaux jours, parfois dans un cadre de violence éducative insoutenable, a travers l’utilisation de la férule ou du martinet,  jusqu’à l’humiliation ultime du bonnet d’âne. Rousseau, Montessori, Dolto ont permis de remettre en question le statut de l’enfant dans la société et par conséquent, la place de la punition.  L’euphorie libérale de mai 68 a surfé sur la vague de ces nouveaux courant de pensées, et on assiste alors à l’apogée de la permissivité, excluant le cadre indispensable au vivre ensemble et à la citoyeneté. 

Il convient donc de trouver le juste équilibre entre l’éducation punitive et l’attitude laxiste.

Au Lycée La Jonchère, nous considérons qu’un cadre éducatif bienveillant est important pour que l’enfant développe son potentiel et qu’il devienne un adulte libre et responsable. 

L’autodiscipline apporte une plus grande satisfaction aux adultes et réduit les troubles chez les jeunes, augmentant leur estime d’eux-mêmes, leur sens de l’initiative ainsi que leur réussite sociale et scolaire.

 
Notre ambition

Favoriser le développement et l'épanouissement de l'enfant

Sans sanctions ni punitions, nous faisons grandir nos élèves dans la bienveillance sans toutefois transiger sur le respect des valeurs et du travail scolaire. 

Même si nous posons et répétons clairement le cadre, les valeurs et les règles, l’élève peut résister, les défier, les transgresser. Dans le cadre d’une pédagogie bienveillante, plutôt qu’une faute à punir,  la transgression sera considérée comme une erreur à rectifier.

Le gain de maturité est inestimable dans cette démarche et le cercle devient vertueux : plus l’enfant (ou l’adolescent) est responsabilisé dans la confiance, plus il mûrit, plus il respectera les règles. 

Pour cela l’école a mis en place des outils de médiations entre pairs, du mentoring, et développé la formation de ses enseignants, élèves et parents d’élèves à la méthode de communication sans perdants de Thomas Gordon. 

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nos inspirations

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Ikigai
Histoire de La Jonchère - Collège et Lycée alternatif bienveillant Ikigai

Ou l’art d'être heureux

Une idée que résume assez bien la notion d’IKIGAI : né à Okinawa au Japon, ville réputée pour avoir longtemps compté les habitants les plus « heureux » de l’archipel, ce terme n’a pas de traduction exacte. Il rassemble les termes de « Iki », la vie, et « gai », ce qui a de la valeur. La traduction la plus proche serait donc : ce qui donne sens/valeur à la vie, mais de manière assez concrète. Ce qui, en somme, donne envie de se lever le matin. l’IKIGAI est le point de convergence de plusieurs notions :

- Ce qu’on aime/ Ce pour quoi l’on est doué/Ce qui nous importe/Ce pour quoi l’on peut être payé
- Sa passion/sa vocation/sa mission/sa profession

Trouver son IKIGAI (lequel peut évoluer au cours d’une vie !) revient à donner un sens à son existence, atteindre le summum de son propre épanouissement. Au Lycée La Jonchère, c’est ce que nous souhaitons vraiment pour les jeunes : qu’ils trouvent leur ikigaï !

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Thomas Gordon
Histoire de La Jonchère - Collège et Lycée alternatif bienveillant Thomas Gordon

Une approche gagnant-gagnant

Pour Thomas Gordon, chantre de la psychologie humaniste, disciple de Carl Rogers, nommé trois fois Nobel de la paix, ces éléments instaurent de fait un rapport de force entre l’adulte et l’enfant : on estime que seul l’adulte sait, et que pour transmettre le savoir à l’enfant, il doit installer une autorité pour que ce dernier intègre la règle ou exécute les ordres… Or, le rapport de force « brise la relation de confiance entre l’adulte et l’enfant ». Pour Thomas Gordon, il s’agit avant tout de restaurer la confiance à travers une méthode de communication non-violente permettant l’expression des besoins et des émotions. Cette communication réitérée permet à l’enfant de se responsabiliser en lui donnant la parole, tout en lui donnant les moyens de comprendre le cadre, de l’intégrer et de les respecter à son propre rythme. Dans cette approche, l’adulte reste le modèle(encore faut-il qu’il le soit !) et facilite l’apprentissage car « Il n’existe pas d’autre éducation intelligente que d’être soi-même un exemple » a dit Albert Einstein.

Ses apports sur la communication sont essentiels dans les valeurs du Lycée La Jonchère. Les bienfaits d’une communication authentique et sincère pour soigner la relation entre les gens. Au Lycée la Jonchère, nous sommes convaincus qu’il est essentiel que la relation enseignant-élève soit une relation de confiance pour que les apprentissages puissent se faire correctement. Nos professeurs et tous les membres de l'équipe sont formés à la méthode Gordon et la mettent en pratique avec les jeunes. Cela passe par une écoute active et bienveillante et aussi une affirmation claire et sans complaisance de la part des adultes lorsque le comportement d’un élève n’est pas en accord avec le fonctionnement et les valeurs de l'établissement. Nous évitons l’utilisation du pouvoir en appliquant des punitions et privilégions toujours le dialogue.

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Ouvrages
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